– courriers –
Depuis 2019, l’UNSA-SDIS33 a déjà écrit par 2 fois à la Direction afin de développer le télétravail au sein de l’établissement :
- le 20 mai 2019 pour demander d’étudier la possibilité de mettre en place le télétravail à domicile ou dans un centre proche du domicile de l’agent
- le 28 juillet 2021 après accord télétravail du 13 juillet 2021
L’UNSA-SDIS33 souhaite depuis longtemps que le télétravail soit mis en place au sein de l’établissement pour les agents en respectant plusieurs critères :
- – le télétravail doit respecter le principe d’égalité de traitement entre les agents placés en télétravail et les agents exerçant leurs activités sur site afin qu’ils aient les mêmes droits et obligations.
- – le télétravail doit reposer sur le volontariat et donc ne peut être imposé par l’employeur.
- – il peut se pratiquer au domicile de l’agent ou dans des locaux professionnels distincts de ceux de son employeur public et de son lieu d’affectation.
- – l’autorisation accordée à l’agent d’exercer ses activités en télétravail est valable pour un an maximum et renouvelable. Cette autorisation peut prendre fin à tout moment et par écrit, à l’initiative de l’administration ou de l’agent.
- – pour préserver l’organisation collective du travail et éviter l’isolement des agents en télétravail, la durée de présence sur site de l’agent en télétravail ne peut pas être inférieure à deux jours par semaine (sauf dérogation pour les agents dont l’état de santé le justifie). Pour un agent à temps complet, le nombre de jours télétravaillés ne peut donc pas être supérieur à trois jours par semaine. L’intérêt du service et les besoins du collectif de travail peuvent justifier que l’autorisation accordée par l’employeur soit inférieure à ce plafond.
- – une indemnisation du télétravail fixée à 2,50 euros par jour de télétravail dans la limite de 220 euros par an.