par LE BUREAU UNSA-SDIS33 | 12 Nov. 2018 | Actualités locales, Actualités nationales, CAP A - B, Communication, Elections, Elections professionnelles, Nov.2018, Officiers
L’UNSA-SDIS de FRANCE est un syndicat réformiste avec une forte présence de cadres. Ni adepte du refus systématique, ni soupçonnable de complaisance, l’UNSA prône et pratique un syndicalisme réaliste et pragmatique.
4ème force syndicale de la fonction publique territoriale et en constante progression, l’UNSA est l’un des 5 syndicats représentatifs.
A ce titre l’UNSA est donc en capacité de porter ses revendications, car nous siégeons :
- Au Conseil Commun de la Fonction Publique (CCFP),
- Au Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale (CSFPT),
- A la Conférence Nationale des Services d’Incendie et de Secours (CNSIS),
- Ainsi qu’aux réunions de dialogue social du Ministère de l’intérieur et de la Direction Générale de la Sécurité Civile (DGSCGC).
Pour les officiers, nous voulons une filière attractive et de la reconnaissance !
- L’arrêt de la surcotisation liée à la prime de feu
- Le déplafonnement des années de bonification au prorata des années surcotisées
- Le maintien, au prorata, des années de bonification en cas de reclassement/reconversion
- Le maintien de la catégorie « active » pour tous les cadres sapeurs-pompiers
- La réaffirmation de l’officier de sapeurs-pompiers dans son rôle de Commandant des Opérations de Secours (COS)
- Un financement pérenne et permanent de l’ENSOSP par le CNFPT
- La mise en place, au quotidien, d’un officier de garde (POJ>9) et d’un chef de groupe
- L’attribution d’une NBI pour éviter l’effet « décote » entre le grade d’adjudant et la catégorie B
- La suppression de l’examen professionnel de commandant
- Le calage des grilles indiciaires sur celles de la filière technique, à l’instar de la catégorie C
- L’application des grilles types PPCR pour les commandants et les lieutenants-colonels
- La prise en compte de l’examen professionnel de commandant dans les critères d’accès aux FAE de chef de groupement
- L’élargissement du nombre d’emplois supérieurs de direction dans les SDIS de catégorie A et B
Révision du référentiel « Secours à personnes »
- Une profonde réforme du secours d’urgence aux personnes avec un positionnement des sapeurs-pompiers et une reconnaissance de leurs rôles et missions
- L’assertion dans le CGCT des missions de secours d’urgence comme mission de droit des SDIS
- La fin de la régulation médicale systématique
- Création des rôles et missions des personnels SSSM au sein des CODIS
- La mise en place de plateformes uniques de réception des appels d’urgence : le 112
- La création d’un cadre d’emploi pour les vétérinaires et les psychologues SPP
Découvrez notre profession de foi
par LE BUREAU UNSA-SDIS33 | 16 Mai. 2018 | Actualités locales, Actualités nationales, Communication, Grève/Manifestation
L’UNSA Fonction Publique et les neuf organisations syndicales représentatives dans la Fonction publique, appellent l’ensemble des personnels de la Fonction publique de l’État, de la Fonction publique Hospitalière et de la Fonction publique Territoriale à la grève et aux manifestations le mardi 22 mai 2018.
Elles demandent un dialogue social respectueux des représentants des personnels.
Elles appellent les agents à dire leur rejet du projet de suppression de 120 000 emplois et le recours accru au contrat qui dégraderont les conditions de travail des agent-es, considérant que le développement de la contractualisation constitue une attaque contre le statut, de même que la possible rémunération « au mérite » assise sur des critères antinomiques de ceux du service public.
Elles rappellent leur opposition à la remise en cause des CAP et à la disparition des CHSCT, comme à toutes mobilités forcées vers le secteur privé.
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Concernant la manifestation à Bordeaux :
RDV à 13h30 place de la République puis du parcours suivant pour la manifestation dont le départ est prévu à 14h : République, Gambetta, Intendance, Comédie, Clémenceau, Gambetta, Préfecture. Demande d’audience au préfet et délégation.
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par LE BUREAU UNSA-SDIS33 | 16 Mai. 2016 | Actualités nationales, Communication, Communiqué de presse, Projet de loi
Le Conseil des ministres vient de décider d’autoriser le gouvernement à recourir aux dispositions de l’article 49-3 concernant le projet de loi El Khomri.
L’UNSA prend acte de l’utilisation de cette procédure qui, au regard de la constitution, relève du pouvoir d’appréciation du gouvernement et de sa responsabilité politique.
Au-delà de la méthode et des considérants politiques divers qui la sous-tendent et qu’elle n’a pas à traiter, c’est le contenu du texte et son évolution qui continuent à mobiliser l’UNSA.
Après les rééquilibrages en faveur des salariés qu’elle avait obtenus dans la rédaction du projet de loi, l’UNSA souhaitait que le travail parlementaire permette de poursuivre encore ce mouvement. Elle constate que c’est ce qu’a entrepris la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale avec l’intégration de près de 400 amendements. C’est donc ce texte amendé qui devrait sortir de l’Assemblée nationale, sauf à ce qu’une motion de censure soit adoptée.
La procédure parlementaire poursuivra ensuite son cours et ce sera alors auprès du Sénat que l’UNSA continuera sa mobilisation, dans la logique du plan d’action qu’elle a engagé auprès des parlementaires.
par LE BUREAU UNSA-SDIS33 | 16 Mar. 2016 | Actualités nationales, Communication, Communiqué de presse
L’UNSA revendiquait que le pré-projet de loi El Khomri bouge impérativement afin qu’il soit rééquilibré en faveur des salariés dès la rédaction du projet de loi lui-même. C’est ce qu’elle a explicitement et fermement demandé lors des audiences auprès du Premier ministre.
Au regard de ses mandats, sous réserve de vérification de la forme juridique écrite précise que cela prendra dans le futur texte,l’UNSA a pris acte des annonces faites aux partenaires sociaux par le Premier ministre le 14 mars.
Elle constate que :
- il n’y aurait plus d’imposition d’un barème prescriptif aux prud’hommes pour licenciement abusif. Le barème n’aurait qu’une fonction indicative respectant donc la souveraineté d’appréciation des juges ;
- le projet respecterait les dispositions actuelles du code du travail applicables en matière d’astreintes, de durée du travail des apprentis, de durée hebdomadaire maximale de travail, de temps d’habillage et déshabillage, de réglementation du temps partiel pour les groupements d’employeurs, de fractionnement du repos quotidien;
- l’accord d’entreprise ne pourrait plus fixer un nombre inférieur de jours de congés pour évènements familiaux ou formation syndical, le forfait jour dans les TPE-PME sera désormais encadré par accord, avec possibilité de recours au mandatement. De même, la modulation éventuelle du temps de travail au-delà d’une année serait encadrée par un accord de branche ;
- en cas de pic d’activité, les TPE PME auraient toujours la possibilité de moduler le temps de travail sur 28 jours mais le projet de loi n’envisagerait plus d’étendre cette période à 16 mais seulement à 9 semaines ;
- la procédure de validation des accords d’entreprise par référendum ne serait plus rendue obligatoire pour tout type d’accord mais serait réduite aux seuls accords concernant l’organisation du temps de travail ;
- l’article 30 bis concernant le droit du licenciement économique serait modifié. Pour les groupes internationaux, le champ d’appréciation des pertes d’exploitation resterait national mais encadré afin d’empêcher les abus ;
- des avancées nouvelles seraient prévues dans le projet de loi concernant le CPA (pour les salariés peu qualifiés, les droits à formation sont portés de 24 à 40 heures, avec un plafond porté de 150 à 400 heures), tandis qu’un compte engagement citoyen permettant d’acquérir des droits à formation serait intégré ;
- la « garantie jeunes » serait généralisée en 2017. C’est donc un droit universel que le projet de loi devrait désormais porter.
Pour l’UNSA, le rééquilibrage du projet de loi en faveur des salariés a donc significativement commencé. L’hypothèque concernant la réussite possible du dialogue social et de la concertation est donc levée.
Pour autant, le compte n’y est pas encore. L’UNSA continuera donc à agir et argumenter pour que, dans la phase parlementaire, le texte continue son évolution, notamment sur le recours au référendum d’entreprise qui doit être retiré, sur le droit du licenciement économique où les formulations restent floues ou encore pour que davantage de moyens soient dégagés pour le dialogue social.
par LE BUREAU UNSA-SDIS33 | 14 Nov. 2015 | Actualités nationales, Communiqué de presse, Divers, Hommage
Notre pays vient d’être profondément meurtri. Vendredi 13 novembre 2015 en soirée, plusieurs actes terroristes ont atteint dans sa chair Paris.
L’UNSA-SDIS33 pense à toutes les victimes et leurs familles.
Nous sommes également de tout coeur avec nos collègues sapeurs-pompiers mobilisés dans ce terrible drame, ainsi qu’à tous les professionnels œuvrant aux secours et la protection de la population.
Restons solidaires et unis face à cette barbarie. Nous défendons le service public parce que nos missions sont la garantie de l’équité et de la solidarité au sein de notre pays.
Que ces actes ne remettent pas en cause nos valeurs.
Communiqué de presse de l’UNSA :
Communique de presse UNSA – Attentats du 13/11/2015