​​Retour sur la mise en œuvre des Lignes Directrices de Gestion (LDG)

​​Retour sur la mise en œuvre des Lignes Directrices de Gestion (LDG)

Après une première année d’application des lignes directrices de gestion (LDG), l’UNSA-SDIS33 vous propose une rétrospective sur les propositions qu’elle a soumises à l’administration.

La gestion de la mobilité, avant la mise en œuvre des lignes directrices de gestion (LDG), avait été dénoncée par l’ensemble des organisations syndicales. Notre volonté d’être force de proposition, nous avait amené à concevoir 2 cotations différentes. La première dédiée à l’arbitrage de la mobilité simple, la deuxième à celle des candidats à la promotion/avancement.

En effet, les critères que nous avions identifiés pour la mobilité simple avait pour objectif de favoriser la mobilité des agents affectés sur des postes contraignants.

En revanche, en ce qui concerne la mobilité liée à l’avancement/promotion, nous souhaitions valoriser la carrière de l’agent, ses qualités professionnelles, ses capacités d’encadrement. et l’ancienneté.

Lors des réunions du groupe de travail sur les LDG, l’UNSA-SDIS33 a toujours défendu le principe d’utilisation de 2 grilles différentes en fonction du type de mobilité. Malheureusement, la Direction n’a pas souhaité retenir cette proposition.

Mais nous n’abandonnons pas et continuerons à promouvoir la différenciation de ces deux types de mobilité.

Vous trouverez ci-après le détail de la grille que nous avions proposé au GRH.

Sachez que nous avions également proposé un dispositif très similaire à la candidature sur poste occupé. Nous avons été très satisfait de voir notre idée retenue. Elle aura permis à 7 SOG et 17 CATE/CA1E de bénéficier de la mobilité vers des centres qui n’avaient pas été préalablement ouverts

Nous sommes bien conscients que le besoin de mobilité est une des principales sources d’épanouissement professionnel et donc de bien-être au travail. 

Les critères liés à la promotion/avancement, notamment pour l’accession à l’emploi d’encadrement de SOG doivent êtres revus pour ne pas donner lieu à ce que nous avons considéré cette année comme des injustices

Soyez donc convaincus de notre total engagement à vous la faciliter de la manière la plus juste et équitable !

Position de l’UNSA-SDIS33 par rapport au télétravail

Position de l’UNSA-SDIS33 par rapport au télétravail

– courriers –

Depuis 2019, l’UNSA-SDIS33 a déjà écrit par 2 fois à la Direction afin de développer le télétravail au sein de l’établissement :

  • le 20 mai 2019 pour demander d’étudier la possibilité de mettre en place le télétravail à domicile ou dans un centre proche du domicile de l’agent
  • le 28 juillet 2021 après accord télétravail du 13 juillet 2021

L’UNSA-SDIS33 souhaite depuis longtemps que le télétravail soit mis en place au sein de l’établissement pour les agents en respectant plusieurs critères :

  1. – le télétravail doit respecter le principe d’égalité de traitement entre les agents placés en télétravail et les agents exerçant leurs activités sur site afin qu’ils aient les mêmes droits et obligations.
  2. – le télétravail doit reposer sur le volontariat et donc ne peut être imposé par l’employeur.
  3. – il peut se pratiquer au domicile de l’agent ou dans des locaux professionnels distincts de ceux de son employeur public et de son lieu d’affectation.
  4. – l’autorisation accordée à l’agent d’exercer ses activités en télétravail est valable pour un an maximum et renouvelable. Cette autorisation peut prendre fin à tout moment et par écrit, à l’initiative de l’administration ou de l’agent.
  5. – pour préserver l’organisation collective du travail et éviter l’isolement des agents en télétravail, la durée de présence sur site de l’agent en télétravail ne peut pas être inférieure à deux jours par semaine (sauf dérogation pour les agents dont l’état de santé le justifie). Pour un agent à temps complet, le nombre de jours télétravaillés ne peut donc pas être supérieur à trois jours par semaine. L’intérêt du service et les besoins du collectif de travail peuvent justifier que l’autorisation accordée par l’employeur soit inférieure à ce plafond.
  6. – une indemnisation du télétravail fixée à 2,50 euros par jour de télétravail dans la limite de 220 euros par an.

 

 

[REPONSE] L’UNSA-SDIS33 encore une fois force de proposition !

[REPONSE] L’UNSA-SDIS33 encore une fois force de proposition !

Voici la réponse du Directeur suite à notre courrier sur la journée d’observation au CODIS.

La Direction affirme sa volonté de moderniser la politique de gestion des ressources humaines.

Toute l’énergie et le travail que nous fournissons à la défense de vos intérêts sont récompensés ! Ce sont ces petites victoires qui nous redonnent de l’énergie et augmentent notre endurance pour les dossiers de fond comme le recentrage des missions. Nous ne lâchons rien.

Il n’y a que le travail qui paye : l’UNSA-SDIS33 l’a bien compris et ne cédera jamais à la facilité du populisme…

CAP PATS : L’UNSA-SDIS33 demande a minima la pérennité de + de 20% d’agents promus

CAP PATS : L’UNSA-SDIS33 demande a minima la pérennité de + de 20% d’agents promus

Le 5 février, nous avons envoyé un courrier au Directeur pour demander a minima la pérennité de + de 20% d’agents promus. Veuillez découvrir le courrier ci-dessous …

Chaussures de casernement : dossier approuvé, une belle avancée pour l’UNSA-SDIS33 au sein du CHSCT !

Chaussures de casernement : dossier approuvé, une belle avancée pour l’UNSA-SDIS33 au sein du CHSCT !

Chaussures de casernement

Lors du dernier CHSCT du 8 novembre dernier, l’UNSA-SDIS33 a présenté un dossier sur les chaussures de casernement.

C’est notamment grâce aux remontées des agents mais aussi grâce à un travail d’observation sur des pathologies qui devenaient récurrentes et similaires qu’une question est naturellement venue se poser : le port des rangers est il nécessaire à la vie de la caserne, n’y a t il pas un réel danger à les porter de manière permanente ?

Le dossier a donc été conçu sur 3 axes de réflexion :

 

  1. Les TMS (troubles musculo-squelettiques) avec leurs conséquences humaines et économiques
  2. Les impacts des fumées contenues sur les bottes
  3. L’hygiène individuelle et collective

Après une présentation claire et complète, les élus et l’administration ont accueilli le dossier avec bienveillance et ont accepté d’étudier ce dossier pour une éventuelle mise en place au sein du SDIS33.