Compte-rendu du groupe de travail « télétravail »

Compte-rendu du groupe de travail « télétravail »

Le groupe de travail « TÉLÉTRAVAIL » du SDIS 33, qui se tenait hier, a débuté par une première réunion pilotée par Madame PIRON (DRH) et le Colonel BARTHE.

Il a été présenté aux différents partenaires sociaux le projet de déploiement de cette nouvelle organisation du travail.
L’objectif est de mettre en place l’ensemble des modalités qui se déclineront dans le cadre réglementaire, à différencier par conséquent de ce que nous avons pu vivre jusqu’à présent lors de l’application du plan de continuité des activités imposée par les circonstances.

Afin de mener à bien ce projet, l’ensemble des groupements seront consultés sur un ensemble de thématiques définies.
Les organisations syndicales seront invitées à échanger au fur et à mesure de l’avancé du projet.

Vos représentants UNSA-SDIS33 restent disponibles pour toutes remontées que vous jugerez utiles de nous transmettre.

-> N’hésitez pas à nous contacter si besoin.

[VISIOCONFERENCE] Retour sur le Comité de Pilotage (COPIL) sur le SUAP du 29 novembre 2021

[VISIOCONFERENCE] Retour sur le Comité de Pilotage (COPIL) sur le SUAP du 29 novembre 2021

VISIOCONFERENCE CoPil SUAP

Retour sur le Comité de Pilotage sur le SUAP du 29 novembre 2021

Le COPIL avait pour objectif principal de faire valider la fiche bilan telle que nous l’avions préparée. Le SDIS avait validé il y a quelques années le bilan A B C D E, mais sans le mettre en œuvre. Cette nouvelle fiche doit être validée par le COPIL afin d’être utilisée par les sapeurs pompiers.

Autre enjeu important, la mise en place de la dépose assise avec l’ ambition de la mettre en place sur un certain nombre de sites d‘accueil des urgences. 

Malgré des réticences de certains participants avant la réunion, nous avons évité un groupe de travail par l’appui du chef du SAMU qui a validé notre proposition sur sa forme et son contenu.

Le CHU ne souhaitait pas que l’expérimentation commence avant le 3 janvier 2022.

Le Directeur ne voulait pas sortir du COPIL sans qu’au moins un site des urgences le mette en place. L’appui (très fort) de la Directrice de cabinet de la préfète a permis de valider la fiche bilan qui est diffusée dans les centres. Nous avons également obtenu que l’expérimentation dépose assise débute le 6 décembre à Saint André, même si cela ne correspond pas à ce que nous souhaitions. Il y a une réticence de la part des centres hospitaliers, donc il y aura un contact succinct avec l’IAO. Avec le temps, nous espérons que le contact deviendra de plus en plus court, voire superflu dans quelques semaines.

Cette mise en place se fera par la suite sur LANGON le 15 décembre, puis 4 pavillons, Bordeaux Nord et Pellegrin au 3 janvier.

Nous avons également pu établir le contact avec la clinique Mutualiste.

Le calendrier est plus long que prévu mais la situation évolue, avec l’appui de la préfecture et l’ARS qui semble être pro active. L’ARS travaille sur et avec nos indicateurs transmis régulièrement.

Il est donc important que les chefs d’agrès utilisent correctement les touches d’états lorsqu’ils arrivent et repartent du CH.

La nouvelle FRI va également nous permettre d’être plus précis pour identifier les difficultés, site par site, car les modalités d’accueil sur ces sites sont hétérogènes.

Nous participons à un souhait d’homogénéisation de tout cela.

Autre point, la descente assise, principe qui veut que si la personne est montée par ses propres moyens dans le VSAV, nous pouvons la descendre sur une chaise et non plus sur un brancard.

L’objectif étant de faciliter la dépose et la prise en charge de la victime en l’absence de  brancard sur le site.

Nous avons réussi à avoir les modalités pour déclarer les Événements Indésirables Graves (EIG). 2 EIG ont déjà été déclarés par notre médecin-chef dont celui où la victime était décédée cet été dans la cellule. L’ARS diligente une enquête.

L’informatique opérationnelle : une première réunion a eu lieu (début décembre) indiquant un interfaçage pour juin. Le Directeur a demandé de pouvoir accélérer pour libérer du temps opérateur et qu’il fallait pouvoir échanger des données.

Phase 1 : échanger nom, prénom, adresse et motif de départ pour libérer les collègues du CTA par l’envoi d’un flux de données.

Volonté également d’interfacer un flux au niveau du CRRA 15 afin de pouvoir clore des opérations de façon anticipée en attendant la mise en place de l’officier santé (sur certaines situations, il pourra être amené à prendre la décision de laisser sur place)

D’autres interfaces arriveront mais dans un second temps.

Objectif Officier santé 24 heures sur 24 par tranche de 12 heures (à la prochaine CASDIS (10/12/21), la délibération permettant la mise en place de l’officier santé).

Mais cela va se mettre en place progressivement et monter en puissance … car au début, nous partirons sur la plage qui est la plus sollicitée. Un groupe de travail a été constitué. Il va prendre contact avec des SDIS qui ont déjà ce système de fonctionnement.

Pour le moment, peu d’évolution sur nos temps d’attente.

La pression est maintenue avec la préfecture, avec les élus rencontrés (Maire de Bordeaux, Président de la Métropole). Échanges sur les sites d’accueil et les modalités de prise en charge des victimes au niveau des urgences.

Sur Saint-André, nous n’avons fait qu’un signalement de seuil depuis lundi dernier.

Sur la trajectoire opérationnelle, nous allons battre un record, en approchant les 145 000 interventions. L’idée reste de s’attaquer au temps d’attente, de monter en puissance au niveau de notre service de santé et du CTA-CODIS avec l‘officier santé et ainsi recentrer nos missions en tenant compte des difficultés du personnel de santé (tension), point d’équilibre à trouver.

Prochain COPIL, 10 janvier à 14 heures 30. Le SDIS maintient le rythme pour que ces sujets continuent d’évoluer là où cela ne l’a pas été pendant des années. 

NOS QUESTIONS :

1 – Difficultés rencontrées au CTA-CODIS avec l’interface CRRA 15 sur leur volume d’agent en poste prise d’appel et régulation radio :

==>>> Réponse du Directeur : je n’ai pas plus de possibilité d’influer sur le CRRA 15 que sur les services d’urgences mais des autorités le peuvent et doivent. 

Nous avons mis en place des indicateurs sur le temps d’attente aux urgences et nous allons mettre en place des indicateurs sur le temps d’attente des opérateurs par rapport au décroché. Cela permettra d’effectuer et de justifier la procédure que nous allons faire.

Malgré tout, les autorités en Gironde sont réactives face aux éléments que nous présentons.

Le but est que nous progression donnant donnant avec le SAMU.

Travail à développer en documentant sur ces points CTA-CODIS/CRRA 15 pour que dans l’avenir nous fonctionnons avec des flux informatiques pour libérer nos opérateurs.

Avec le Ségur de la santé, des travaux vont être effectués sur plusieurs sites (notamment du CHU). Nous avons besoin dans la future architecture du CH d’une voie dédiée d’accueil des VSAV.

Le Directeur souhaite par ces échanges anticiper l‘avenir pour également solutionner cette problématique.

2 – Nous rencontrons un afflux d’appels des chefs d’agrès qui nous précisent que le SAMU, lors de la régulation radio, leur demande de faire le bilan téléphone… donc via le 18 :

==>>> Réponse du Directeur : Il semblerait que le fait qu’il ne réponde plus ou moins à la radio serait lié avec leur bascule informatique, qui occasionne des difficultés. C’est apparu à ce moment là.

Je maintien le souhait que l’on passe nos bilan sur le SSU car cela a l’avantage d’être pratique pour nos personnels et que les échanges soient enregistrés également.

Si cela devait perdurer, des solutions ont été mises en place dans d’autres SDIS. 

Il existe ailleurs, pour les chef d’agrès, un numéro sur le CTA-CODIS qui fait une boucle et bascule automatiquement vers le CRRA 15. S’il le faut, nous l’expérimenterons.

3 – Précédemment, nous avions le 15, numéro gratuit, pour contacter le CRRA 15. Depuis quelques temps, pour des raisons de réorganisation, nous avons plusieurs lignes de numéros à 10 chiffres (dédiées mais payantes) sans avoir pleine satisfaction de l’efficacité de cette mise en place. Nous avons toujours les même délais, en payant…! 

==>>> Réponse du Directeur : je peux concevoir de payer pour que le service s’améliore, mais payer pour que le service ne s’améliore pas, ça, j‘ai plus de mal.

Nous pourrons peut être avoir la possibilité de passer par le 15 et d’aller directement sur leur autocom pour arriver sur le bon poste. Cela fait partie des choses que nous allons devoir régler avec notre partenaire le CRRA 15 et le CHU.

Il y a pas mal de sujets ces temps ci.

Vous en savez autant que moi, vous l’aurez compris, je suis raisonnablement optimiste… les choses avancent, on commence à mettre un certain nombre de dispositifs en place. 

Maintenant, c’est rendez-vous sur l’objectif et on va voir si cela fonctionne… si ce n’est pas le cas, nous remettrons le sujet sur la table et nous essaierons une autre voie.

Si cela fonctionne, nous essaierons d’aller plus loin dans le processus à travers l’évolution de la fiche bilan.

Ce qui est primordial, c’est que lorsque je vais au COPIL, je sache ce qui se passe sur le terrain donc vraiment relayez le message, les FRI, et plus globalement derrière, informer la chaîne de commandement si il y a des événements gravissimes qui se produisent pour que nous ayons une action immédiate.

Compte-rendu de la commission d’habillement du 26/11/2021

Compte-rendu de la commission d’habillement du 26/11/2021

Découvrez le compte-rendu de la commission d’habillement du 26/11/2021.

Retour sur la CAP-SPP C du 03 DECEMBRE 2021

Retour sur la CAP-SPP C du 03 DECEMBRE 2021

La CAP SPP-C s’est tenue ce vendredi 03 décembre.

Il n’y avait aucun dossier imposant le vote des organisations syndicales, seulement un point d’informations.

L’administration nous a présenté le bilan des lignes directrices de gestion pour l’année 2021.

Elle a permis d’accroitre la mobilité des agentes et agents de l’établissement, notamment grâce à la possibilité de postuler sur un poste occupé.

Des ajustements pour l’année 2022 ont été présentés ainsi que le tableau prévisionnel des campagnes de mobilité et nomination.

L’UNSA-SDIS33, étonnée de ne pas voir à l’ordre du jour de cette CAP de nominations de caporaux-chefs, a interrogé la Direction sur ce sujet.

Le directeur départemental nous a indiqué qu’il souhaitait revoir le mode de nomination des caporaux-chefs, en proposant un modèle différent de celui qui existait auparavant.

L’UNSA-SDIS33 s’est dite prête à entamer des discussions sur ce sujet, mais qu’il n’était pas concevable qu’il n’y ait pas de nominations de caporaux-chefs en 2021 et qu’au regard de la forte attente des agentes et agents sur ce point, il était nécessaire de poursuivre au moins pour cette année le fonctionnement des années précédentes.

Le Directeur a fait preuve de compréhension et s’est dit enclin à étudier notre demande pour cette année.

Compte-rendu du CHSCT du 26/11/2021

Compte-rendu du CHSCT du 26/11/2021

Découvrez le compte-rendu du dernier CHSCT du 26 novembre 2021.

[COURRIER] Saisonniers SPP sur la frange littorale

[COURRIER] Saisonniers SPP sur la frange littorale

Découvrez le dernier courrier envoyé au Directeur du SDIS de la Gironde concernant les saisonniers SPP sur la frange littorale

Retour sur le Conseil d’Administration du vendredi 29 octobre 2021

Retour sur le Conseil d’Administration du vendredi 29 octobre 2021

L’UNSA-SDIS33 revient sur ce CASDIS autour des 4 principaux sujets :

1 / Financement du SDIS 33 : des solutions à pérenniser

L’activité opérationnelle croissante ces dernières années impacte grandement le budget du SDIS. Afin de conserver une dynamique de fonctionnement et d’investissement l’établissement doit chaque années trouver des financements supplémentaires.

Pour cela, le SDIS a mis en place une contribution volontaire auprès des communes et EPCI du département. Ce mécanisme de financement supplémentaire est indispensable pour maintenir la qualité de la réponse opérationnelle.

Plusieurs représentants des EPCI se sont engagés à pérenniser leur contribution volontaire. Cet engagement est une véritable marque de confiance que nous saluons. 

Rappelons que l’UNSA SDIS de France travaille depuis plusieurs années avec les parlementaires pour faire évoluer la législation sur le financement des SDIS.

2 / Budget du SDIS : une situation saine mais fragile

Le maintien du niveau de financement permet au SDIS d’équilibrer sa section de fonctionnement en confortant son autofinancement.

La stratégie financière s’articule autour de quatre principaux axes :

  • Stabiliser les ressources dépendantes des contributions volontaires,
  • Maitriser les dépenses en fonctionnement,
  • Poursuivre l’effort d’investissement,
  • Rechercher des marges d’autofinancement supplémentaires.

Par ailleurs, pour apporter davantage de visibilité sur sa trajectoire budgétaire, le SDIS va se doter d’un plan pluriannuel d’investissement (PPI).

3 / SUAP : loi Matras et engagement locaux

La récente loi Matras devrait permettre de juguler la pression opérationnelle liée aux missions SUAP. Les différentes mesures qui y sont inscrites comme la temporisation des carences, la requalification à posteriori, l’expérimentation des plateformes co-localisées des appels d’urgence, sont très attendues par les SDIS.

Aujourd’hui, nous sommes toujours en attente du décret d’application de cette loi, qui selon les engagements du Président de la République, devrait être rapidement publié.

Localement, le SDIS de la Gironde s’est porté candidat à l’expérimentation de la plateforme co-localisée des appels d’urgence. Cette candidature sera soutenue par Mme la Préfète.

4 / Attentes aux urgences : l’entrevue d’une amélioration ?

C’est un engagement ferme de notre nouveau directeur départemental qui en fait son dossier prioritaire.

Son expertise sur la « problématique SUAP » et les travaux locaux menés depuis plusieurs mois ont permis la mise en perspective de solutions. 

Dès le 01 décembre 2021, sera mis en place la dépose assise des victimes aux urgences et un officier santé pourrait aussi être déployé au CTA/CODIS. 

Espérons que ces premières annonces de mesures ne soient pas les seules et que leurs efficacités puissent être rapidement étudiées pour mettre fin à une situation intolérable.

L’UNSA-SDIS33 sera particulièrement vigilante sur ce point.

​​Retour sur la mise en œuvre des Lignes Directrices de Gestion (LDG)

​​Retour sur la mise en œuvre des Lignes Directrices de Gestion (LDG)

Après une première année d’application des lignes directrices de gestion (LDG), l’UNSA-SDIS33 vous propose une rétrospective sur les propositions qu’elle a soumises à l’administration.

La gestion de la mobilité, avant la mise en œuvre des lignes directrices de gestion (LDG), avait été dénoncée par l’ensemble des organisations syndicales. Notre volonté d’être force de proposition, nous avait amené à concevoir 2 cotations différentes. La première dédiée à l’arbitrage de la mobilité simple, la deuxième à celle des candidats à la promotion/avancement.

En effet, les critères que nous avions identifiés pour la mobilité simple avait pour objectif de favoriser la mobilité des agents affectés sur des postes contraignants.

En revanche, en ce qui concerne la mobilité liée à l’avancement/promotion, nous souhaitions valoriser la carrière de l’agent, ses qualités professionnelles, ses capacités d’encadrement. et l’ancienneté.

Lors des réunions du groupe de travail sur les LDG, l’UNSA-SDIS33 a toujours défendu le principe d’utilisation de 2 grilles différentes en fonction du type de mobilité. Malheureusement, la Direction n’a pas souhaité retenir cette proposition.

Mais nous n’abandonnons pas et continuerons à promouvoir la différenciation de ces deux types de mobilité.

Vous trouverez ci-après le détail de la grille que nous avions proposé au GRH.

Sachez que nous avions également proposé un dispositif très similaire à la candidature sur poste occupé. Nous avons été très satisfait de voir notre idée retenue. Elle aura permis à 7 SOG et 17 CATE/CA1E de bénéficier de la mobilité vers des centres qui n’avaient pas été préalablement ouverts

Nous sommes bien conscients que le besoin de mobilité est une des principales sources d’épanouissement professionnel et donc de bien-être au travail. 

Les critères liés à la promotion/avancement, notamment pour l’accession à l’emploi d’encadrement de SOG doivent êtres revus pour ne pas donner lieu à ce que nous avons considéré cette année comme des injustices

Soyez donc convaincus de notre total engagement à vous la faciliter de la manière la plus juste et équitable !

Compte-rendu du groupe de travail « télétravail »

Position de l’UNSA-SDIS33 par rapport au télétravail

– courriers –

Depuis 2019, l’UNSA-SDIS33 a déjà écrit par 2 fois à la Direction afin de développer le télétravail au sein de l’établissement :

  • le 20 mai 2019 pour demander d’étudier la possibilité de mettre en place le télétravail à domicile ou dans un centre proche du domicile de l’agent
  • le 28 juillet 2021 après accord télétravail du 13 juillet 2021

L’UNSA-SDIS33 souhaite depuis longtemps que le télétravail soit mis en place au sein de l’établissement pour les agents en respectant plusieurs critères :

  1. – le télétravail doit respecter le principe d’égalité de traitement entre les agents placés en télétravail et les agents exerçant leurs activités sur site afin qu’ils aient les mêmes droits et obligations.
  2. – le télétravail doit reposer sur le volontariat et donc ne peut être imposé par l’employeur.
  3. – il peut se pratiquer au domicile de l’agent ou dans des locaux professionnels distincts de ceux de son employeur public et de son lieu d’affectation.
  4. – l’autorisation accordée à l’agent d’exercer ses activités en télétravail est valable pour un an maximum et renouvelable. Cette autorisation peut prendre fin à tout moment et par écrit, à l’initiative de l’administration ou de l’agent.
  5. – pour préserver l’organisation collective du travail et éviter l’isolement des agents en télétravail, la durée de présence sur site de l’agent en télétravail ne peut pas être inférieure à deux jours par semaine (sauf dérogation pour les agents dont l’état de santé le justifie). Pour un agent à temps complet, le nombre de jours télétravaillés ne peut donc pas être supérieur à trois jours par semaine. L’intérêt du service et les besoins du collectif de travail peuvent justifier que l’autorisation accordée par l’employeur soit inférieure à ce plafond.
  6. – une indemnisation du télétravail fixée à 2,50 euros par jour de télétravail dans la limite de 220 euros par an.

 

 

[COURRIER] Revalorisation des tickets restaurants

[COURRIER] Accord télétravail

Découvrez le dernier courrier envoyé au Président et au Directeur du SDIS de la Gironde concernant l’accord télétravail.